Son arbre généalogique prend racine dans la nuit des temps, le jour où des hommes Inspirés eurent l’idée de cuire un pain sucré au miel. Ils vécurent probablement en Asie, avant de migrer vers l’Europe et de l’apporter jusqu’à Reims.
Très vite il peut compter sur la créativité des maîtres pâtissiers de la ville, stimulée par la venue de la cour lors des sacres royaux. La corporation des pains d’épiciers est d’ailleurs créée à Reims en 1571.
Au fil des siècles, ceux-ci le façonnent, tantôt cœur, tantôt couronne. Ils enrichissent sa recette d’épices parfumées, de fruits secs, de perles de sucre et de cannelle en lui conservant toujours l’ingrédient qui le distingue de son cousin dijonnais : la farine de seigle.
Le pain d’épices de Reims fait la renommée de sa région et de nombreux écrits vantent ses vertus. Nicolas de la Framboisière, médecin d’Henri IV, raconte en 1601 que « les Champenoises et spécialement les dames de Reims, pour user ordinairement de ce pain, sont rendues belles, ont un beau teint et le corps robuste et succulent ».
Au petit déjeuner, sa tranche dorée simplement tartinée de beurre compte de nombreux adeptes. Energétique, facile à emporter, il s’apprécie pleinement à l’heure du goûter. En cuisine, sa personnalité racée apporte une touche originale à bien des recettes.
Toasté, poêlé, pané, le pain d’épices de Reims se prête à toutes les fantaisies pour enchanter les palais gourmands.
Au petit déjeuner, sa tranche dorée simplement tartinée de beurre compte de nombreux adeptes. Energétique, facile à emporter, il s’apprécie pleinement à l’heure du goûter. En cuisine, sa personnalité racée apporte une touche originale à bien des recettes.
Toasté, poêlé, pané, le pain d’épices de Reims se prête à toutes les fantaisies pour enchanter les palais gourmands.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire